Dans les tréfonds du temps...

(Pareil, j'y go. Bounne nouit.)

Assak et Emïly se trouvèrent un coin dans le camp pour dormir.

Jun' : *Réapparait un peu et colle un bisou sur la joue de tout les aventuriers avant de remonter dans l'arbre et de se poste comme sentinelle, guettant encore pour la nuit les mouvements.*

L'escouade de Gerald avait combattu les forces du Fléau avec une férocité inhumaine. Serenal était entré dans une crise vindicative et il avait éliminé autant qu'il le pouvait les forces mortes-vivantes, la bave aux lèvres. Ulorik avait massacrer les nécromanciens et les quelques acolytes empêchant ainsi des renforts directs. Grimbold quant à lui avait essayez de ne pas user de ces pouvoirs nécrotiques donc il avait combattu comme un troufion de base à vrai dire, on était loin de ses réelles capacités martiales.

(I have return, but i must dodo actually. Thank you very much.)

Assak SombreJour a écrit:
(Exact, merci.
Sinon je suis gaga de la chanson que tu as link sur Deezer, l'album est sympa aussi! Y a moyen de s'y procurer? Un CD ou je n'sais quoi? Parce que je trouve pas "La Lune est une Dame." sur YouTube, donc j'peux pas la télécharge.)

( pardon, j'avais pas vu. En fait cet album a maintenant plus de dix ans.. Je ne sais pas s'il est encore en vente, mais honnêtement je pense pas... C'est en fait trés loin de ce qu'ils font actuellement, qui est beaucoup plus rock, mais moi ça me plait beaucoup ! A écouter donc ! Et pour télécharger la chanson, j'ai pas trouvé non plus... Les Weepers Circus c'est bon, mangez en. )

Je serrais le poing droit.
Oui...
Je sentais ce feu dans mes veines, cette puissance... La marque était chaude dans ma main, réconfortante, autant que son très léger halo sombre.
Derrière moi, sans me retourner, je sentais distinctement les pensées du nain, jurant a tout ses ancêtres qu'ils l'ont prendrais plus jamais dans ces maudites toiles d'araignées.
Son cœur... Qui bat si vite... Par l'effort... Pourquoi... Ne pas le faire battre... De peur ?
Non.
Cette puissance... Ce doit être Sa proximité, surtout a cette profondeur, mais elle véhicule aussi Leurs sentiments, Leurs idées, Leur Chaos...
Oui... Je l'ai sentis grandir depuis le départ, depuis que nous nous sommes approchés du Northrend, avec une pointe de jubilation je pouvait sentir les pensées des occupants du bateau bien plus facilement, alors que je m'amusait sous ma forme de poisson.
Bael'gun : Heu... Tout va bien ? Un problème ?
Korskarn : Non, continuons... Il faut monter a présent, nous y sommes presque.

Zerevas remercia Emïly de l'avoir soigné, et, lorsque le combat fût terminé et que les aventuriers partirent se coucher, l'elfe monta sur une grande colline, sortit une harpe et entama une mélodie, tout en fixant la lune, comme si une complicité régnait entre elle et lui...

Le lendemain matin, Zerevas se leva et rejoint le groupe d'aventuriers et Arthas.

Assak se réveilla et secoua Emïly. Elle s'étira douloureusement et regarda alentours. Le camp était quelque peu dévasté. Une fumée noire s'élevait plus loin, au-dessus d'un tas. Les cadavres du Fléau avait du être brûlé durant la nuit.
Emïly ronchonna en sentant l'odeur et ralluma un feu dans les cendres du précédent.

(@Azriv : Dommage pour l'album, mais si jamais tu les croises, dit leur que j'aime beaucoup!
Et si tu as des extraits de ce qu'ils font now, j'suis preneuse.)

Un mouvement, une tache noir sur la neige ce déplaçant. Jun' grogna et descendit au camp, rejoignant le groupe et Arthas.

Jun' : On a de la visite *Désigne un groupe encore assez loin du camp mais qui approcher quand même assez rapidement.* Je ne sais pas qui c'est, ils sont trop loin pour les voir en détails mais ils ne m'inspire pas confiance on devrait faire attention et ce préparer a les recevoir si ils viennent bien vers nous.

Serenal : Qu'est-ce que ça peut nous faire ? Un signe agressif et ils se prennent un tir de mortier.
Arthas : D'après mes éclaireurs, il y a un autre camp troll, nous ferions mieux de nettoyer la zone si on ne veut pas se prendre et les trolls et le Fléau.
Serenal : C'est une bonne idée.
Gerald : Moi je reste au camp et je garde les ouvriers.
Arthas : Entendu Gerald. Falric ! Marwyn ! Gardez vos troupes ici et sonnez dans le cor s'il y a un problème quelconque, quant à moi je vais accompagner votre groupe.

Commandant : C'est calme... *regarde le paysage enneigé depuis sa fenêtre*
Acolyte : Tout va bien monseigneur ?
Commandant : Moui... Tenez les défenses. On ne sait jamais.
Acolyte : Bien.

~

Delar : *s'étire*
Karl : *plisse les yeux et observe la tâche noire qui se déplaçait* Mh...

( vos désirs sont des ordres... Hop, pour commencer, si tu connais les Beatles, une trés jolie chanson bourrée de clins d'oeil : Liverpool - Weepers Circus )

Un homme à la voix froide entra, c'était un chevalier de la mort.

??? : J'espère que vous avez réussi votre mission, Commandant. Sinon, la fureur du Roi Liche sera telle que même votre mère ne vous reconnaitra plus.

Commandant : Ma mère ne risque pas de me revoir un jour, dans l'état ou elle est. *sourit, nullement intimidé* Ne vous inquiétez pas, ils ne tarderont pas. D'ailleurs...

C'est à ce moment qu'un acolyte déboula dans la pièce, essouflé.

Acolyte : Maître ! Maître !
Commandant : Eh bien ?
Acolyte : Nos espions rapportent que les humains se préparent à attaquer !
Commandant : *sourit et se tourne vers le chevalier de la mort* Vous voyez, il n'y a pas à s'impatienter... Et je vous rapelle que je suis mieux placé dans le Fléau que vous. Surveillez vos manières.

( zut, j'aurais voulu dire le nom du dk :p )

??? : Peut-être... Mais ce n'est pas vous qui avait été choisi pour devenir un chevalier de la mort. Je me trompe ?


(Ça se devine facilement je pense ^^)

Le Commandant se détourna de la fenêtre et fixa le chevalier de la mort, sans se départir de son sourire étrange.

Commandant : Hélas non, mais j'ai conservé mon privilège de rester en vie. Et je n'ai jamais été un petit chien sage qui suit fidèlement son maître.

Une pointe de mépris était audible dans la voix, mais l'ironie était plus forte.

Acolyte : Mais... maître, vous suivez bien les ordres, non ?
Commandant : *plonge sa lame dans le coeur de l'acolyte, qui s'effondre, une expression de surprise sur le visage* Trés juste. Rien d'autre à me dire, Arkturus ?

( je pense nee pas m'être trompé... )

Arkturus : Non... Faites ce qui doit être fait. Mais faites le bien, Ghalron. Je vous ai à l'oeil.

L'humain sortit de la tente.

Commandant : Ce sera fait.

L'elfe s'appuya contre la table qui était dans sa tente. Et s'ils échouaient ? S'ils avaient sous estimé les humains ? Lui, que ferait il ? Il irait voir ailleurs sans doute, n'ayant plus rien à faire ici. Pour l'heure, il avait encore du travail. Il appela un acolyte et lui ordonna de renforcer la garde.

~

Arthas : Muradin, sont ils prêts ?
Muradin : Mh... Je pense que oui, garçon. Nous pouvons commencer.
Arthas : Parfait. Gerald ? Me ferez vous le plaisir de mener la charge ?

Serenal revint au camp, couvert de sang.

Serenal : Le camp troll a été purgé.

Gerald : Bien entendu. Soldats ! En avant bande de loques ! Il est temps désormais de sauver nos frères nains pour la gloire de Lordaeron !

Ulorik : *bas* Quel acteur dis donc.
Grimbold : *bas* Il est à fond dans son personnage.

Les troupes de Gerald avancèrent, éliminant au passage les quelques goules qui traînaient pour finalement arriver au camp du Fléau.

Gerald : Karvin ! Préparez le mortier ! Bien, maintenant... Tirez !

L'obus s'écrasa sur le cristal d'une ziggourat le faisant imploser et élimina les quelques nécromants qui était à côté.

Gerald : Fusiliers ! Couvrez nous ! Fantassins ! Avec moi !

Le Sergent fonça, armes en mains pour vaincre le Fléau sous les tirs de couverture des mortiers, des fusiliers et des chars.

Serenal : Pour Lordaeron ! Épurer ce camp du mal qui l'habite !
Ulorik : Mourrez dans le sang !
Grimbold : Pour Khaz Modan !

(Niiih, je retiens Sia' pour pas qu'elle vous espionne! *A bâillonné Siasske pour pas qu'elle parle.*)

Assak soupira un peu exaspérée mais ne dit rien. Emïly à côté d'elle avait éteint une fois de plus le feu de camp.

(On quitte le camp et on fonce sur celui du Fléau si je suis bien, c'est ça?
Et Thrain, il est avec un autre groupe là?))

Le Commandant lança un regard circulaire aux humains et aux nains qui commençaient à attaquer le camp. Il sourit. Pile à l'heure. Il haranguait ses soldats, sur son destrier mort vivant.

Commandant : Messieurs, en ce jour, certains se battent pour la dernière fois. Je ne veux qu'une chose. A la fin de cette bataille, cette terre ne doit plus être qu'une éponge gorgée de sang bien rouge. Aujourd'hui, combattez comme jamais vous n'avez combattu. POUR LA GLOIRE DU FLEAU !

Les soldats bramèrent tous de concert un atroce cri de guerre, et se lancèrent avec toute la rage dont est capable le Fléau et chargèrent, sortant de nulle part et prenant les humains à revers.

Ils étaient en haut d'une grosse pente, derrière eux, une cheminée bien caché menait aux profondeurs.
Baelgun : Et maintenant ?
Korskarn : On descend.
Baelgun : C'est haut, et la pente...
Le nain sentit sa présence, et tenta de se retourner immédiatement, comprenant ce qui allait se passer avant même de sentir le choc du coup...
Il bascula en avant, avec un cri d'effroi, pestant et jurant tant qu'il le pu tandis qu'il dévalait la pente comme un tonneau.
Korskarn : Quel finesse.
Quelques secondes plus tard, le nain pratiquement transformé en bonhomme de neige arriva au bord du cratère neigeux ou se trouvait le camp nain.
Il y eut un effet toboggan, et il s'éleva très haut, avant de retomber sur le toit de l'hôtel de ville qui tint le choc, mais qui pulvérisa l'enveloppe de neige fraiche.
3 mètres de chute plus tard, le nain était en sécurité, et a l'arrêt dans une congère au pied du bâtiment.
Je soupirais, et commençai ma descente tandis que le nain me maudissait, et que deux autres nains proches en train de nettoyer leurs fusils nous regardaient d'un air béat.
Baelgun : Maudit salopard, me faire ça a moi ! Maudit...*Surf* (Crache la neige qu'il a dans la bouche.)
Un autre nain : Surf...?
Encore un autre nain : Regarde, ça doit être ça !

Sur la pente, j'avait attaché mes pieds a mes deux hautes-lames, et je dévalai la pente en équilibre précaire dessus, les genoux fléchies.
Le 1er nain : Ouais... J'avais jamais vu ça !

A peine que je touchais terre sans tomber devant 3 regards béats, presque bovins que le tocsin sonnait a toute volée.
Crieur nain : Ils arrivent ! En positions aux barricades !

( Tu as raison pour les deux )

Gerald : Manoeuvre d'esquive !

Les soldats de Gerald partirent se planqué derrière des rochers, puis les forces aux corps à corps chargèrent sur les goules tandis que les nécromanciens se prenaient des tirs de fusiliers en plein dans le torse.

( Sinon, il y a trois camps, celui qu'on explose là qui est à côté de la base naine. L'autre où est supposé être Mal'Ganis et l'autre encore où est Mal'Ganis.)

(J'suis perdue, Karl et compagnie y sont où eux?)

( je croyais qu'on était tous ensembles nous, vu qu'hier on était avec Arthas... )

Commandant : Nécromancien. Envoyez les wyrms.
Nécromancien : Bien maître.

Le nécromancien psalmodia dans une langue qui écorcherait les oreilles du plus brave des paladins, et quatre immenses wyrms de givre semblèrent sortirent directement du ciel écarlate. Ils foncèrent sur les troupes qui s'étaient planquées.

(bah avec ceux qui chargent)

Ulorik tuait nombre de morts-vivants pour finalement arriver devant le Commandant, un sourire apparut sur ses lèvres.

Ulorik : Comment qu'on se retrouve mon bon ?

(Oui mais comme Gerald mène une deuxième équipe, Arthas a pas dit qu'on chargeait.)